Je vous propose un petit débat sur "comment mesurer la qualité d'un prono".
Pour ma part, j'utilise une façon de mesurer mon "écart" par rapport à la réalité... une réalité qui inclue un ***facteur chance*** indéniable. Le 5-5 de Lyon face à l'OM, où on est passé par tous les états
en 5 minutes, prouve qu'une part de chance est nécessaire pour réussir son prono... et le péno loupé par le MUC, ainsi que leurs 4 poteaux le prouvent encore plus.
, et de dire qu'on finit à 11 sur 15, 12 sur 15 ou autre.L'idée est de mesurer ***le nombre de buts d'écarts*** entre le prono et le résultat réel.
Ensuite, pour chaque surprise entre 20 et 30%, si on a faux, on double cet écart de buts. Pour toutes les autres surprises (moins de 20%), on triple cet écart.
Comme j'ai
sur MUC72, il "me manquait 1
favorable". Je compte donc 1.Sur Nancy-St-E, idem,
, il "me manquait 1
favorable". Par contre, St-E entre 20 et 30%, donc ça compte pour deux.Sur la génératrice, j'ai donc un écart de 3 avec les résultats finaux (hors pref)
Après il faudrait tenir compte des prefs... et voir combien de buts "il manquait pour chaque pref". Je dois me rajouter 1+1 but pour 2 prefs où VA gagnant aurait fait passer les 2 prefs. Mon écart final est de 5.
On peut estimer "ne pas être passé loin de gagner" quand l'écart de buts calculé avec la formule ci-dessus est inférieur ou égal à 3. En étant à 5, "je suis à la rue et très loin du 15", la chance n'y aurait rien changé.
Quelqu'un base Bordeaux à Lille. Son écart de buts est de 3 ! (puisqu'il aurait fallu 3 buts de Bordeaux pour que le résultat lui soit favorable). Si on compte Lille entre 20 et 30%, il a un écart de 6 buts ! Avec un seul match de faux, mais "complètement faux", la chance n'y aurait rien changé.
Après bien sûr cela ne tient pas compte des faits de jeu, des poteaux, et du reste, mais ça se base sur ce qui est factuel, unique façon de mesurer objectivement "un écart avec les résultats".
A vous










