Je vais continuer même si c'est pour constater ce que tu dis.
Ce sera au moins la preuve que jouer aléatoirement donne bien un résultat proche de la marge du bookmaker.
Actuellement, nous sommes bien partis pour être dans cette zone !
D'un autre coté, les matchs avec une forte décote sont peut-être quand même intéressants.
Pourquoi une telle différence entre le bilan global et le bilan des OCI 20+ ?
Actuellement rien ne permet de valider cette différence car il y a trop peu de cas.
Pour le match de ce soir, je suis d'accord avec toi, si le marché s'ouvre la veille, la cote n'est pas la même car les bookmakers et le public ont d'autres informations et je ne prends pas le match.
C'est peut-être le coté pervers des décotes trop fortes comme dans ce cas particulier.
S'il y a peut-être un peu de marge c'est parce que la cote, trop haute au départ, ne baisse finalement pas assez.
Nous jouons contre plusieurs adversaires : Les bookmakers, très forts, ils connaissent bien leur travail et les joueurs, à 95% en déficit sur le long terme, émotifs réagissants exagérément aux informations.
C'est paradoxal mais en jouant comme je le fais dans ce sujet, on suit bêtement les masses qui s'engouffrent dans les cotes alléchantes proposées par les bookmakers.
Il faut malgré tout distinguer 2 catégories derrière la masse : un grand nombre de petits joueurs et peu de gros joueurs. Les gros joueurs (très gros) sont censés être les investisseurs, les pros, ceux qui savent et qu'il faut suivre. En jouant les cotes à la baisse, on suit à la fois les 2 catégories sans le savoir.
Dans certains cas, c'était bien à jouer dans d'autres non mais on ne peut pas distinguer les cas avec les informations que nous avons. Il faudrait avoir le détail des mises jouées chez les bookmakers pour s'en rendre compte. (Approche abordée sur le site
http://www.sportsinsights.com dans le cas des sports US)
Les fortes décotes sont donc peut-être bien celles qui sont provoquées par les plus gros joueurs et donc celles qu'il faut suivre.
Le bookmaker ne donne pas une probabilité mais une cote qui est censé représenter le flux financier qu'ils vont recevoir pour être gagnant quel que soit le résultat.
Ceci étant, il sait très bien qu'il ne sera pas gagnant à tous les coups et il sait aussi qu'il y a des gros coups sur les équipes hyper médiatisées qui lui garantissent du bénéfice sur le long terme. Une équipe comme l'OM qui fait un tel début de saison, c'est du pain bénit pour eux. Les parieurs jouent encore et toujours sur l'OM qui va bien finir par se redresser mais en attendant, les bénéfices accumulés sont énormes.
Ces bénéfices sont là pour compenser certain évènements foireux pour eux.
D'autre part, une baisse de cote est parfois provoquée par le bookmaker pour que le parieur ne trouve plus le pari intéressant et mise sur les 2 autres résultats pour équilibrer ses mises car il sait que ce sera chaud pour lui. Il faut rendre alléchant le N et le 2 si le 1 était mal évalué.
Mais là encore, comment identifier ces rencontres ?
Il y a les modèles comme le Cyborg qui peuvent aider.
C'est un vaste sujet et je vais continuer avec enthousiasme et sur la durée pour essayer d'en tirer des conclusions plus fiables.
L'idéal, comme certains l'on proposé dans ce topic, c'est d'analyser les rencontres de la liste pour les ranger dans des catégories du type : baisse à cause d'un motif sportif ou non et analyser le bilan de chaque catégorie.