Juste pour apporter la pierre à édifice...
pris sur le site Rugby world cup.
BAPTÊME DU FEU : Kinikinilau a fêté ses débuts avec la Roumanie face à son pays de naissance
Lors de la
Coupe du Monde de Rugby 2011 en Nouvelle-Zélande, la Roumanie faisait partie des trois seules équipes dépourvues de joueurs naturalisés dans leur effectif, avec l’Argentine et la Géorgie. Cette fois, les Chênes en comptent quatre, naturalisés après trois ans de résidence : Michael Wiringi (Nouvelle-Zélande), Paula Kinikinilau (Tonga), Johannes van Heerden (Afrique du Sud) et Otar Turashvili (Géorgie). Leur objectif : se qualifier pour la première fois pour la deuxième phase.Wiringi a effectué ses débuts internationaux lors de la Coupe des Nations de Rugby à XV, en juin, jouant un rôle significatif dans le triomphe de la Roumanie. Le demi d’ouverture (30 ans) s’est engagé avec le club de Baia Mare après avoir répondu à une annonce. Il a aidé l’équipe à remporter le championnat cette année et espère apporter une nouvelle dimension à l’équipe de Roumanie.
« Je pense que mes qualités, à la course et dans le jeu, peuvent faire beaucoup de bien à la Roumanie, explique Wiringi. Si je vois une opportunité de marquer, je la saisis. Je pense que c’est quelque chose qui manquait dans cette équipe. »
Le centre tonguien Kinikinilau a fêté ses débuts avec la Roumanie lors d’un match de préparation pour la Coupe du Monde contre les Tonga le 5 septembre.
« C’était à la fois exaltant et crispant, a déclaré le joueur de 29 ans au sujet de sa confrontation avec ses anciens frères d'armes. « Une fois rentré dans le match, j’ai fait abstraction de tout ça et j’ai juste joué mon jeu. »
Le pilier vétéran Ion Paulica, qui dispute sa quatrième Coupe du Monde, approuve cet afflux de talents étrangers et la tendance croissante des rugbymen roumains à s’exporter dans les championnats européens. C’est d’ailleurs son cas, à Perpignan en Top 14.
« On a des super joueurs qui évoluent en France et dans d’autres championnats, explique Paulica. Ils sont différents des joueurs qu’on avait avant. Ils possèdent une panoplie plus large. Dans les gros matches, je pense que ça nous aidera du point de vue de la vitesse et de la dynamique. »La Roumanie débute sa campagne mondialiste contre la France mercredi au Stadium, Queen Elizabeth Olympic Park.
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VÉTÉRAN : Mercredi face à la France, le demi d’ouverture Danut Dumbrava égalera le nombre de Coupes du Monde disputées avec la Roumanie (4)
LONDRES, le 21 septembre – La victoire inattendue du Japon face à l’Afrique du Sud (34-32) a donné des idées aux équipes du tier 2 qui visent l’exploit dans cette Coupe du Monde 2015.
Pour son entrée en lice, la Roumanie va affronter une équipe de France « bis » mercredi au Stadium, Queen Elizabeth Olympic Park. Pour renverser le XV de France, Lynn Howells a décidé de s’appuyer sur une équipe aguerrie.
En effet, la victoire japonaise, combinée à l’espoir d’une qualification directe pour la Coupe du Monde 2019, décuple la motivation des coéquipiers de Danut Dumbrava.
DES « PETITES ÉQUIPES » PRISES AU SÉRIEUX
« (La victoire du Japon) est un fabuleux résultat pour les équipes du tier 2 et pour le rugby mais, en termes de préparation, ça n’a pas changé notre approche du match », a confié le sélectionneur Lynn Howells lors de l’annonce de son XV de départ ce lundi au Grange Wellington Hotel de Londres.
« Je pense que ça a réellement fait peur aux grosses équipes de ne pas prendre les plus petites nations au sérieux. »
L’EXPÉRIENCE FACE À L’EXPÉRIMENTATION
Le XV de départ roumain comptera 648 sélections au coup d’envoi, un record pour cette nation en Coupe du Monde.
Le pilier droit Paulica Ionet le demi d’ouverture Danut Dumbrava égaleront pour l’occasion le nombre de Coupes du Monde disputées par un joueur roumain, avec quatre éditions. Remplaçant au coup d’envoi, Ovidiu Tonita pourrait les rejoindre en cas d’entrée en jeu. Même si Howells reconnait être face à un dilemme.
« Cela a été difficile de sélectionner le meilleur XV possible et encore plus dur d’en écarter certains. La ligne arrière compte un grand nombre de sélections. Vu l'expérience qu'ils ont, cela s’est fait naturellement. Le choix des avants m’a donné plus de maux de tête. »
L’UNITÉ COMME PRINCIPAL ATOUT
Les Chênes n’ont jamais battu leur adversaire en Coupe du Monde et le capitaine Mihai Macovei compte sur le travail d’équipe pour réaliser l’exploit.
« Notre plus grande force, c'est notre unité. C’est ce qui nous aidera dans les gros matches. Je ne pense pas que beaucoup d’équipes aient ça. »
Les Français sont prévenus, c’est un rude combat qui les attend mercredi au Stadium, Queen Elizabeth Olympic Park.
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Ils sont bouillants les Roumains

Il pensent qui y'a moyen de taper la France.. & nous on discute sur un H de 40/50 pts

ils viendront pas en victime me plaisent ces roumains vont laisser leurs Cojones sur le terrain & ne lâcheront rien
+50pts... quel marge...
