Classement avant les 3 derniers matchs:
1 Lyon 31 13 10 1 2 29 12 +17
2 Nancy 28 13 8 4 1 20 7 +13
3 Rennes 24 13 7 3 3 17 10 +7
4 Le Mans 23 14 7 2 5 21 20 +1
5 Bordeaux 22 13 6 4 3 16 12 +4
6 Valenciennes 21 14 6 3 5 17 16 +1
7 Monaco 20 14 6 2 6 19 15 +4
8 Nice 20 14 5 5 4 14 11 +3
9 Strasbourg 19 14 5 4 5 15 13 +2
10 Saint Etienne 18 14 5 3 6 16 15 +1
11 Lille 17 14 3 8 3 14 14 0
12 Toulouse 16 12 4 4 4 12 14 -2
13 Paris SG 16 14 3 7 4 12 15 -3
14 Lorient 15 13 3 6 4 13 16 -3
15 Lens 15 13 4 3 6 11 14 -3
16 Caen 15 13 4 3 6 11 17 -6
17 Auxerre 14 14 4 2 8 12 22 -10
18 Sochaux 13 14 2 7 5 12 18 -6
19 Marseille 11 13 2 5 6 9 15 -6
20 Metz 7 14 1 4 9 7 21 -14
Ligue 1 - saison 2007-2008
Suivi de la saison
Modérateur: Equipe de modération
par CRESUS » Lun Nov 12, 2007 1:10
MARSEILLE EST RENVERSANT
(Par Bruno RODRIGUES)
L'OM est allé, à la surprise générale, dicter sa loi sur la pelouse du leader lyonnais (2-1) et sort de la zone de relégation. Plus tôt dans la journée, Bordeaux a dominé Rennes (3-0) et grimpe sur le podium. Lorient a renoué avec la victoire face à Toulouse (1-0), qui continue de s'enliser.
La belle série lyonnaise prend fin
Capable du pire, souvent, Marseille a montré dimanche soir sur la pelouse du leader lyonnais qu'il était également capable du meilleur, parfois (2-1). Dans un match qui fleurait bon la Ligue des champions, une compétition qui sourit plutôt bien aux Marseillais cette saison, l'OM a livré dans le Rhône une copie semblable à celle qui lui avait permis de revenir d'Anfield, il y a quelques semaines, avec les trois points en poche (1-0). Menés au score, presque contre le cours du jeu, dès la 7e minute sur une tête de Juninho, qui fêtait là son 200e match parmi l'élite, Marseille aurait eu toutes les raisons de s'inquiéter. Il ne l'a pas fait. Les hommes de Gerets, avec un Djibril Cissé une nouvelle fois cantonné au banc de touche, ont à peine eu le temps de cogiter qu'ils se sont vu accorder un penalty pour une faute présumée de Squillaci sur Niang dans la surface. L'attaquant sénégalais ne s'est pas fait prier pour transformer la sentence et offrir une égalisation méritée aux siens.
Chacune des deux équipes jouait alors son va-tout. Niang, encore lui, était tout proche de doubler la mise d'un superbe ciseau que Vercoutre sortait de sa lucarne (22e). Lyon n'était pas en reste. Fred, préféré ce soir à Benzema, remplaçant, se voyait offrir deux occasions rêvées de redonner l'avantage aux siens de la tête. Mais il manquait à chaque fois le cadre (20e, 41e). L'inévitable Niang reprenait alors les choses en main et permettait à l'OM, d'un joli tir croisé du droit (2-1, 42e), de rentrer aux vestaires avec un précieux but d'avance. Lyon revenait sur le terrain avec de toutes autres ambitions. Mais, après Niang en première période, il allait cette fois se trouver un nouveau bourreau : Steve Mandanda. Le gardien international espoirs de Marseille allait tout simplement écoeurer l'OL. Plus solide que jamais sur sa ligne, il allait tour à tour repousser des tentatives de Govou (53e) mais surtout de Benzema (75e, 86e et 90e+2), finalement entré en jeu à 25 minutes du coup de sifflet final. Devant, la triplette marseillaise Niang - Nasri - Valbuena profitait de la moindre occasion offerte en contre pour mettre le feu dans la défense des Gones. Proches du K.-O. à plusieurs reprises, les Provençaux se contentaient finalement de cette victoire aussi salvatrice qu'inespérée qui leur permet de sortir de la zone de relégation. Après neuf succès en dix matches, Lyon est en revanche stoppé brutalement dans son envolée fantastique. Nancy n'est qu'à trois points, avec un match de moins.
BORDEAUX prend la 3e place à RENNES
En infligeant à Rennes (3-0) sa première défaite à l'extérieur depuis le mois de mars, Bordeaux a enfin pris le meilleur sur une équipe du haut de tableau après plusieurs tentatives infructueuses (Lyon, Lorient, Nancy, Le Mans). Une performance qui permet aux hommes de Laurent Blanc de grimper sur la troisième marche du podium en lieu et place de leur victime du soir. Les Girondins ont pourtant longtemps buté sur une formation bretonne parfaitement en place défensivement et à l'aise en contre. Comme souvent cette saison, ils ont fini par faire la différence grâce à leur canonnier en chef, David Bellion, auteur d'un doublé qui porte son total à 10 buts, à une petite unité du leader, Karim Benzema. L'ancien Niçois a d'abord provoqué un penalty qu'il s'est chargé de transformer (18e), avant de doubler la mise au retour des vestiaires d'une jolie frappe croisée du droit (49e) et d'être à l'origine du but d'Obertan en toute fin de match (86e). Hormis un raid en solitaire de Marveaux, ponctué par une frappe de peu à côté, Rennes n'a finalement existé que sur coups de pied arrêtés. Mais Marveaux, encore lui, n'a jamais trouvé le cadre (9e, 37e). Si la victoire girondine ne souffre aucune contestation, le score peut se révéler au final quelque peu sévère pour des Rennais volontaires mais qui marquent incontestablement le pas après un début de saison remarquable. Sur ses cinq dernières sorties, toutes compétitions confondues, le Stade Rennais a concédé quatre revers pour un nul. Plus inquiétant, il n'a inscrit en tout et pour tout qu'un seul petit but. Un rythme largement insuffisant pour un candidat au podium.
LORIENT enfonce TOULOUSE
Dans l'autre match de l'après-midi, Lorient a enfin renoué avec le succès face à une équipe de Toulouse décidément mal en point (1-0). Plutôt dominateurs d'entrée de jeu, les Merlus, qui n'avaient plus connu la victoire depuis neuf journées (5 points pris sur 27 possibles), se créaient les meilleures occasions en première période mais devaient rester vigilants face aux contres toulousains, souvent orchestrés par un Fodé Mansaré omniprésent. Les hommes de Gourcuff faisaient finalement la différence au retour des vestiaires par Fabrice Abriel, idéalement servi par un extérieur du droit de Hautcoeur, et qui trompait Douchez d'une jolie frappe croisée (50e). Les Merlus ne se satisfaisaient pourtant pas de cet avantage au score et continuaient de mettre à mal l'arrière-garde toulousaine. Acculés dans leur moitié de terrain, les protégés d'Elie Baup, privés il est vrai d'Elmander, Cetto et Dieuze, semblaient incapables de réagir et rejoignaient logiquement les vestiaires avec une nouvelle défaite dans la musette. Le TFC n'a remporté qu'un seul de ses dix derniers matches, toutes compétitions confondues. Les temps sont durs dans la ville rose.
(Par Bruno RODRIGUES)
L'OM est allé, à la surprise générale, dicter sa loi sur la pelouse du leader lyonnais (2-1) et sort de la zone de relégation. Plus tôt dans la journée, Bordeaux a dominé Rennes (3-0) et grimpe sur le podium. Lorient a renoué avec la victoire face à Toulouse (1-0), qui continue de s'enliser.
La belle série lyonnaise prend fin
Capable du pire, souvent, Marseille a montré dimanche soir sur la pelouse du leader lyonnais qu'il était également capable du meilleur, parfois (2-1). Dans un match qui fleurait bon la Ligue des champions, une compétition qui sourit plutôt bien aux Marseillais cette saison, l'OM a livré dans le Rhône une copie semblable à celle qui lui avait permis de revenir d'Anfield, il y a quelques semaines, avec les trois points en poche (1-0). Menés au score, presque contre le cours du jeu, dès la 7e minute sur une tête de Juninho, qui fêtait là son 200e match parmi l'élite, Marseille aurait eu toutes les raisons de s'inquiéter. Il ne l'a pas fait. Les hommes de Gerets, avec un Djibril Cissé une nouvelle fois cantonné au banc de touche, ont à peine eu le temps de cogiter qu'ils se sont vu accorder un penalty pour une faute présumée de Squillaci sur Niang dans la surface. L'attaquant sénégalais ne s'est pas fait prier pour transformer la sentence et offrir une égalisation méritée aux siens.
Chacune des deux équipes jouait alors son va-tout. Niang, encore lui, était tout proche de doubler la mise d'un superbe ciseau que Vercoutre sortait de sa lucarne (22e). Lyon n'était pas en reste. Fred, préféré ce soir à Benzema, remplaçant, se voyait offrir deux occasions rêvées de redonner l'avantage aux siens de la tête. Mais il manquait à chaque fois le cadre (20e, 41e). L'inévitable Niang reprenait alors les choses en main et permettait à l'OM, d'un joli tir croisé du droit (2-1, 42e), de rentrer aux vestaires avec un précieux but d'avance. Lyon revenait sur le terrain avec de toutes autres ambitions. Mais, après Niang en première période, il allait cette fois se trouver un nouveau bourreau : Steve Mandanda. Le gardien international espoirs de Marseille allait tout simplement écoeurer l'OL. Plus solide que jamais sur sa ligne, il allait tour à tour repousser des tentatives de Govou (53e) mais surtout de Benzema (75e, 86e et 90e+2), finalement entré en jeu à 25 minutes du coup de sifflet final. Devant, la triplette marseillaise Niang - Nasri - Valbuena profitait de la moindre occasion offerte en contre pour mettre le feu dans la défense des Gones. Proches du K.-O. à plusieurs reprises, les Provençaux se contentaient finalement de cette victoire aussi salvatrice qu'inespérée qui leur permet de sortir de la zone de relégation. Après neuf succès en dix matches, Lyon est en revanche stoppé brutalement dans son envolée fantastique. Nancy n'est qu'à trois points, avec un match de moins.
BORDEAUX prend la 3e place à RENNES
En infligeant à Rennes (3-0) sa première défaite à l'extérieur depuis le mois de mars, Bordeaux a enfin pris le meilleur sur une équipe du haut de tableau après plusieurs tentatives infructueuses (Lyon, Lorient, Nancy, Le Mans). Une performance qui permet aux hommes de Laurent Blanc de grimper sur la troisième marche du podium en lieu et place de leur victime du soir. Les Girondins ont pourtant longtemps buté sur une formation bretonne parfaitement en place défensivement et à l'aise en contre. Comme souvent cette saison, ils ont fini par faire la différence grâce à leur canonnier en chef, David Bellion, auteur d'un doublé qui porte son total à 10 buts, à une petite unité du leader, Karim Benzema. L'ancien Niçois a d'abord provoqué un penalty qu'il s'est chargé de transformer (18e), avant de doubler la mise au retour des vestiaires d'une jolie frappe croisée du droit (49e) et d'être à l'origine du but d'Obertan en toute fin de match (86e). Hormis un raid en solitaire de Marveaux, ponctué par une frappe de peu à côté, Rennes n'a finalement existé que sur coups de pied arrêtés. Mais Marveaux, encore lui, n'a jamais trouvé le cadre (9e, 37e). Si la victoire girondine ne souffre aucune contestation, le score peut se révéler au final quelque peu sévère pour des Rennais volontaires mais qui marquent incontestablement le pas après un début de saison remarquable. Sur ses cinq dernières sorties, toutes compétitions confondues, le Stade Rennais a concédé quatre revers pour un nul. Plus inquiétant, il n'a inscrit en tout et pour tout qu'un seul petit but. Un rythme largement insuffisant pour un candidat au podium.
LORIENT enfonce TOULOUSE
Dans l'autre match de l'après-midi, Lorient a enfin renoué avec le succès face à une équipe de Toulouse décidément mal en point (1-0). Plutôt dominateurs d'entrée de jeu, les Merlus, qui n'avaient plus connu la victoire depuis neuf journées (5 points pris sur 27 possibles), se créaient les meilleures occasions en première période mais devaient rester vigilants face aux contres toulousains, souvent orchestrés par un Fodé Mansaré omniprésent. Les hommes de Gourcuff faisaient finalement la différence au retour des vestiaires par Fabrice Abriel, idéalement servi par un extérieur du droit de Hautcoeur, et qui trompait Douchez d'une jolie frappe croisée (50e). Les Merlus ne se satisfaisaient pourtant pas de cet avantage au score et continuaient de mettre à mal l'arrière-garde toulousaine. Acculés dans leur moitié de terrain, les protégés d'Elie Baup, privés il est vrai d'Elmander, Cetto et Dieuze, semblaient incapables de réagir et rejoignaient logiquement les vestiaires avec une nouvelle défaite dans la musette. Le TFC n'a remporté qu'un seul de ses dix derniers matches, toutes compétitions confondues. Les temps sont durs dans la ville rose.
- CRESUS
par CRESUS » Lun Nov 12, 2007 1:13
Classement
1 Lyon 31 14 10 1 3 30 14 +16
2 Nancy 28 13 8 4 1 20 7 +13
3 Bordeaux 25 14 7 4 3 19 12 +7
4 Rennes 24 14 7 3 4 17 13 +4
5 Le Mans 23 14 7 2 5 21 20 +1
6 Valenciennes 21 14 6 3 5 17 16 +1
7 Monaco 20 14 6 2 6 19 15 +4
8 Nice 20 14 5 5 4 14 11 +3
9 Strasbourg 19 14 5 4 5 15 13 +2
10 Saint Etienne 18 14 5 3 6 16 15 +1
11 Lorient 18 14 4 6 4 14 16 -2
12 Lille 17 14 3 8 3 14 14 0
13 Paris SG 16 14 3 7 4 12 15 -3
14 Toulouse 16 13 4 4 5 12 15 -3
15 Lens 15 13 4 3 6 11 14 -3
16 Caen 15 13 4 3 6 11 17 -6
17 Marseille 14 14 3 5 6 11 16 -5
18 Auxerre 14 14 4 2 8 12 22 -10
19 Sochaux 13 14 2 7 5 12 18 -6
20 Metz 7 14 1 4 9 7 21 -14
1 Lyon 31 14 10 1 3 30 14 +16
2 Nancy 28 13 8 4 1 20 7 +13
3 Bordeaux 25 14 7 4 3 19 12 +7
4 Rennes 24 14 7 3 4 17 13 +4
5 Le Mans 23 14 7 2 5 21 20 +1
6 Valenciennes 21 14 6 3 5 17 16 +1
7 Monaco 20 14 6 2 6 19 15 +4
8 Nice 20 14 5 5 4 14 11 +3
9 Strasbourg 19 14 5 4 5 15 13 +2
10 Saint Etienne 18 14 5 3 6 16 15 +1
11 Lorient 18 14 4 6 4 14 16 -2
12 Lille 17 14 3 8 3 14 14 0
13 Paris SG 16 14 3 7 4 12 15 -3
14 Toulouse 16 13 4 4 5 12 15 -3
15 Lens 15 13 4 3 6 11 14 -3
16 Caen 15 13 4 3 6 11 17 -6
17 Marseille 14 14 3 5 6 11 16 -5
18 Auxerre 14 14 4 2 8 12 22 -10
19 Sochaux 13 14 2 7 5 12 18 -6
20 Metz 7 14 1 4 9 7 21 -14
- CRESUS
par CRESUS » Lun Nov 12, 2007 1:14
Classement des passeurs
1 JUNINHO (Lyon) 6
2 ROTHEN Jérôme (Paris-SG) 5
- LEROY Jérôme (Rennes) 5
- MOULOUNGUI Eric (Strasbourg) 5
5 GERVINHO (Le Mans) 4
6 KAHLENBERG Thomas (Auxerre) 3
- CHAMAKH Marouane (Bordeaux) 3
- FERNANDO (Bordeaux) 3
- JUSSIE (Bordeaux) 3
- VAHIRUA Marama (Lorient) 3
- BEN ARFA Hatem (Lyon) 3
- BENZEMA Karim (Lyon) 3
- MERIEM Camel (Monaco) 3
- PLASIL Jaroslav (Monaco) 3
- HADJI Youssouf (Nancy) 3
- ABDESSADKI Yacine (Strasbourg) 3
- JOHANSEN Pascal (Strasbourg) 3
- MATER Rudy (Valenciennes) 3
19 LEJEUNE Kévin (Auxerre) 2
- PEDRETTI Benoît (Auxerre) 2
1 JUNINHO (Lyon) 6
2 ROTHEN Jérôme (Paris-SG) 5
- LEROY Jérôme (Rennes) 5
- MOULOUNGUI Eric (Strasbourg) 5
5 GERVINHO (Le Mans) 4
6 KAHLENBERG Thomas (Auxerre) 3
- CHAMAKH Marouane (Bordeaux) 3
- FERNANDO (Bordeaux) 3
- JUSSIE (Bordeaux) 3
- VAHIRUA Marama (Lorient) 3
- BEN ARFA Hatem (Lyon) 3
- BENZEMA Karim (Lyon) 3
- MERIEM Camel (Monaco) 3
- PLASIL Jaroslav (Monaco) 3
- HADJI Youssouf (Nancy) 3
- ABDESSADKI Yacine (Strasbourg) 3
- JOHANSEN Pascal (Strasbourg) 3
- MATER Rudy (Valenciennes) 3
19 LEJEUNE Kévin (Auxerre) 2
- PEDRETTI Benoît (Auxerre) 2
- CRESUS
par CRESUS » Lun Nov 12, 2007 1:19
Classement des buteurs
1 BENZEMA Karim (Lyon) 11 14 0.79
2 BELLION David (Bordeaux) 10 14 0.71
3 DE MELO Tulio (Le Mans) 9 13 0.69
4 SAÏFI Rafik (Lorient) 6 14 0.43
- KIM (Nancy) 6 12 0.50
- KONE Bakari (Nice) 6 12 0.50
7 NICULAE Daniel (Auxerre) 5 11 0.45
- NIANG Mamadou (Marseille) 5 12 0.42
- PIQUIONNE Frédéric (Monaco) 5 14 0.36
- RENTERIA Wason (Strasbourg) 5 11 0.45
- AUDEL Johan (Valenciennes) 5 6 0.83
12 SESSEGNON Stéphane (Le Mans) 4 14 0.29
- VAHIRUA Marama (Lorient) 4 12 0.33
- GOVOU Sidney (Lyon) 4 13 0.31
- JUNINHO (Lyon) 4 13 0.31
- HADJI Youssouf (Nancy) 4 12 0.33
- GOMIS Bafetimbi (Saint-Etienne) 4 12 0.33
- SAVIDAN Steve (Valenciennes) 4 14 0.29
19 JELEN Ireneusz (Auxerre) 3 13 0.23
- WENDEL Geraldo (Bordeaux) 3 13 0.23
1 BENZEMA Karim (Lyon) 11 14 0.79
2 BELLION David (Bordeaux) 10 14 0.71
3 DE MELO Tulio (Le Mans) 9 13 0.69
4 SAÏFI Rafik (Lorient) 6 14 0.43
- KIM (Nancy) 6 12 0.50
- KONE Bakari (Nice) 6 12 0.50
7 NICULAE Daniel (Auxerre) 5 11 0.45
- NIANG Mamadou (Marseille) 5 12 0.42
- PIQUIONNE Frédéric (Monaco) 5 14 0.36
- RENTERIA Wason (Strasbourg) 5 11 0.45
- AUDEL Johan (Valenciennes) 5 6 0.83
12 SESSEGNON Stéphane (Le Mans) 4 14 0.29
- VAHIRUA Marama (Lorient) 4 12 0.33
- GOVOU Sidney (Lyon) 4 13 0.31
- JUNINHO (Lyon) 4 13 0.31
- HADJI Youssouf (Nancy) 4 12 0.33
- GOMIS Bafetimbi (Saint-Etienne) 4 12 0.33
- SAVIDAN Steve (Valenciennes) 4 14 0.29
19 JELEN Ireneusz (Auxerre) 3 13 0.23
- WENDEL Geraldo (Bordeaux) 3 13 0.23
- CRESUS
par CRESUS » Lun Nov 12, 2007 1:21
Programme 15 ème journée:
Samedi 24 novembre 2007
17:10 Rennes - Lyon
20:00 Caen - Bordeaux
20:00 Lens - Lorient
20:00 Marseille - Metz
20:00 Nancy - Lille
20:00 Saint Etienne - Sochaux
20:00 Strasbourg - Valenciennes
20:00 Toulouse - Monaco
Dimanche 25 novembre 2007
18:00 Auxerre - Le Mans
21:00 Nice - Paris SG
Samedi 24 novembre 2007
17:10 Rennes - Lyon
20:00 Caen - Bordeaux
20:00 Lens - Lorient
20:00 Marseille - Metz
20:00 Nancy - Lille
20:00 Saint Etienne - Sochaux
20:00 Strasbourg - Valenciennes
20:00 Toulouse - Monaco
Dimanche 25 novembre 2007
18:00 Auxerre - Le Mans
21:00 Nice - Paris SG
- CRESUS
Canal +
- CRESUS
par CRESUS » Lun Nov 12, 2007 16:00
PARIS : MÊME PAS MAL !
(Par Bruno RODRIGUES)
Humilié sur sa pelouse par Bordeaux (0-2), Rennes (1-3) et Lyon (2-3), le Paris-SG a mis fin à cette triste série en partageant les points (0-0) avec Nancy, samedi à l'issue d'un match terne. Si le résultat, et surtout la manière, auraient fait tâche il y a peu, c'est aujourd'hui presque un exploit.
La pire série du Paris-SG à domicile
Les temps changent. «Si on garde le même état d'esprit, le même engagement, et les mêmes qualités techniques, on va réussir à gagner des matches car ce ne sera pas toujours Nancy en face». Le constat est signé de l'irréprochable Jérôme Rothen, quelques minutes après que lui et ses équipiers aient mis un terme à une série de trois revers consécutifs à domicile face à Nancy (0-0). Certes, le club parisien a cette fois montré quelques vertus de solidarité, voire de solidité au Parc des princes, ce qui n'a pas toujours été le cas cette saison. Mais se contenter d'un nul tiré par les cheveux à domicile face à une équipe de Nancy aussi solide soit-elle, en dit long sur la condition actuelle du club parisien. Sans une étonnante maladresse de Fortuné, à bout portant, ou un but refusé à ce même Fortuné pour un hors jeu inexistant, le club de la capitale aurait enquillé un quatrième revers de rang dans ce qui devrait être son jardin.
S'il a donc évité le pire, samedi, le Paris-SG version Colony Capital est tout de même entré dans l'histoire du club en étant le premier à cumuler huit matches consécutifs au Parc sans la moindre victoire. Le constat est amer, voire cruel, mais il est somme toute logique. Paul Le Guen fait ce qu'il peut avec ce qu'il a. Il a débuté la saison avec son équipe dite type. Sans succès. Il a alors tenté de booster ses cadres en donnant massivement leur chance aux jeunes. Sans plus de succès. Il en est donc aujourd'hui à tenter un savant mélange des deux. Si le résultat n'est pas encore optimal, il est un petit peu meilleur, ou moins mauvais, c'est selon. «On ne prend qu'un point, on n'a toujours pas gagné au Parc, c'est donc un sentiment mitigé, regrettait l'entraîneur parisien samedi soir. J'ai le sentiment que l'on a fait ce que l'on a pu face à une très bonne équipe de Nancy qui n'est pas là par hasard. On a donné notre meilleur mais notre meilleur n'a pas suffi pour battre Nancy». Le Paris-SG était donc bien à son maximum.
Un manque de talents
Si cette équipe parisienne progresse peu à peu au niveau du mental, comme l'a prouvé son courageux succès à Strasbourg, le week-end dernier (2-1), le fait est qu'elle manque cruellement de talent, voire de génie. D'un ou deux joueurs capables de faire la différence à eux seuls quand le collectif n'y arrive pas. Une nouvelle fois, le seul éclair contre Nancy est venu de Pedro Pauleta. Auteur d'un doublé contre Montpellier (2-0) et Lyon (3-2), l'Aigle des Açores a été le seul à faire vibrer le Parc en expédiant un missile du gauche sur la barre transversale d'un Bracigliano alors spectateur. A part cela, rien, ou presque, à se mettre sous la dent. Le recrutement estival, et l'enveloppe qui y a été consacrée, n'est peut-être tout simplement pas du niveau d'un club ambitieux comme doit l'être le Paris-SG, qui se donnait autrefois les moyens d'attirer les Ginola, Raï ou autre Weah. Les responsables demandent du temps, annoncent une nouvelle année de transition, mais, après une saison dernière catastrophique, ils risquent cette fois d'user la seule chose qu'il reste des grandes années : un public passionné, fidèle, et pour l'instant patient.
(Par Bruno RODRIGUES)
Humilié sur sa pelouse par Bordeaux (0-2), Rennes (1-3) et Lyon (2-3), le Paris-SG a mis fin à cette triste série en partageant les points (0-0) avec Nancy, samedi à l'issue d'un match terne. Si le résultat, et surtout la manière, auraient fait tâche il y a peu, c'est aujourd'hui presque un exploit.
La pire série du Paris-SG à domicile
Les temps changent. «Si on garde le même état d'esprit, le même engagement, et les mêmes qualités techniques, on va réussir à gagner des matches car ce ne sera pas toujours Nancy en face». Le constat est signé de l'irréprochable Jérôme Rothen, quelques minutes après que lui et ses équipiers aient mis un terme à une série de trois revers consécutifs à domicile face à Nancy (0-0). Certes, le club parisien a cette fois montré quelques vertus de solidarité, voire de solidité au Parc des princes, ce qui n'a pas toujours été le cas cette saison. Mais se contenter d'un nul tiré par les cheveux à domicile face à une équipe de Nancy aussi solide soit-elle, en dit long sur la condition actuelle du club parisien. Sans une étonnante maladresse de Fortuné, à bout portant, ou un but refusé à ce même Fortuné pour un hors jeu inexistant, le club de la capitale aurait enquillé un quatrième revers de rang dans ce qui devrait être son jardin.
S'il a donc évité le pire, samedi, le Paris-SG version Colony Capital est tout de même entré dans l'histoire du club en étant le premier à cumuler huit matches consécutifs au Parc sans la moindre victoire. Le constat est amer, voire cruel, mais il est somme toute logique. Paul Le Guen fait ce qu'il peut avec ce qu'il a. Il a débuté la saison avec son équipe dite type. Sans succès. Il a alors tenté de booster ses cadres en donnant massivement leur chance aux jeunes. Sans plus de succès. Il en est donc aujourd'hui à tenter un savant mélange des deux. Si le résultat n'est pas encore optimal, il est un petit peu meilleur, ou moins mauvais, c'est selon. «On ne prend qu'un point, on n'a toujours pas gagné au Parc, c'est donc un sentiment mitigé, regrettait l'entraîneur parisien samedi soir. J'ai le sentiment que l'on a fait ce que l'on a pu face à une très bonne équipe de Nancy qui n'est pas là par hasard. On a donné notre meilleur mais notre meilleur n'a pas suffi pour battre Nancy». Le Paris-SG était donc bien à son maximum.
Un manque de talents
Si cette équipe parisienne progresse peu à peu au niveau du mental, comme l'a prouvé son courageux succès à Strasbourg, le week-end dernier (2-1), le fait est qu'elle manque cruellement de talent, voire de génie. D'un ou deux joueurs capables de faire la différence à eux seuls quand le collectif n'y arrive pas. Une nouvelle fois, le seul éclair contre Nancy est venu de Pedro Pauleta. Auteur d'un doublé contre Montpellier (2-0) et Lyon (3-2), l'Aigle des Açores a été le seul à faire vibrer le Parc en expédiant un missile du gauche sur la barre transversale d'un Bracigliano alors spectateur. A part cela, rien, ou presque, à se mettre sous la dent. Le recrutement estival, et l'enveloppe qui y a été consacrée, n'est peut-être tout simplement pas du niveau d'un club ambitieux comme doit l'être le Paris-SG, qui se donnait autrefois les moyens d'attirer les Ginola, Raï ou autre Weah. Les responsables demandent du temps, annoncent une nouvelle année de transition, mais, après une saison dernière catastrophique, ils risquent cette fois d'user la seule chose qu'il reste des grandes années : un public passionné, fidèle, et pour l'instant patient.
- CRESUS
par CRESUS » Lun Nov 12, 2007 16:01
Foot - L1 - Lyon - Aulas : «Trop de suffisance»
Les apparences n'étaient pas trompeuses. La machine OL avait beau être lancée, elle demeurait très fragile. Face à une formation marseillaise accrocheuse et déterminée, les Lyonnais, battus 2-1, sont retombés dans leurs travers et ont disputé le match de trop. Pour une fois, ni Benzema, ni Govou, tombés sur un très grand Mandanda, n'ont pas pu compenser les trop nombreux errements défensifs. L'OL interrompt là sa série de sept victoires consécutives, toutes compétitions confondues, et subit sa première défaite à domicile cette saison en L1. Du coup, les hommes d'Alain Perrin restent au classement sous la menace de Nancy (à 3 points et un match en moins) et de Bordeaux, revenu à 6 longueurs grâce à son succès devant Rennes (3-0).
A la fin du match, Jean-Michel Aulas n'a pas été tendre avec ses joueurs, parlant de « trop d'aisance et même de suffisance ». « Ce qui ne nous a pas permis de lutter à armes égales avec cette équipe marseillaise qui avait un peu plus envie de gagner que Lyon. Cela confirme qu'il est difficile de remporter tous ses matches quand on joue trois fois de suite à domicile (NDLR : Valenciennes, Stuttgart et Marseille). Il y a eu beaucoup d'erreurs techniques. C'est le fait du prince de se relâcher et de penser que seul le talent suffit. Ce n'est pas le cas, il faut aussi faire preuve de qualités mentales », a insisté Aulas rajoutant que « Marseille avait certainement de meilleures raisons que nous de l'emporter ce soir ». « Les Marseillais avaient plus besoin de nous que cette victoire. Pour Lyon, c'était plus un match de prestige. » Le président lyonnais a aussi évoqué « l'enchaînement des matches » pour expliquer ce coup de moins bien. Mais Rémy Vercoutre préfère réfuter cet argument. « Il ne faut pas se chercher d'excuses. Marseille était dans le même état physique avec le même nombre de matches disputés. On n'a simplement pas réussi à faire ce qu'il fallait faire. » Le portier lyonnais a volontiers rendu hommage à son homologue marseillais, Steve Mandanda. « Ce soir, ce fut le match d'un gardien, le sien. » S.L., à Lyon
Les apparences n'étaient pas trompeuses. La machine OL avait beau être lancée, elle demeurait très fragile. Face à une formation marseillaise accrocheuse et déterminée, les Lyonnais, battus 2-1, sont retombés dans leurs travers et ont disputé le match de trop. Pour une fois, ni Benzema, ni Govou, tombés sur un très grand Mandanda, n'ont pas pu compenser les trop nombreux errements défensifs. L'OL interrompt là sa série de sept victoires consécutives, toutes compétitions confondues, et subit sa première défaite à domicile cette saison en L1. Du coup, les hommes d'Alain Perrin restent au classement sous la menace de Nancy (à 3 points et un match en moins) et de Bordeaux, revenu à 6 longueurs grâce à son succès devant Rennes (3-0).
A la fin du match, Jean-Michel Aulas n'a pas été tendre avec ses joueurs, parlant de « trop d'aisance et même de suffisance ». « Ce qui ne nous a pas permis de lutter à armes égales avec cette équipe marseillaise qui avait un peu plus envie de gagner que Lyon. Cela confirme qu'il est difficile de remporter tous ses matches quand on joue trois fois de suite à domicile (NDLR : Valenciennes, Stuttgart et Marseille). Il y a eu beaucoup d'erreurs techniques. C'est le fait du prince de se relâcher et de penser que seul le talent suffit. Ce n'est pas le cas, il faut aussi faire preuve de qualités mentales », a insisté Aulas rajoutant que « Marseille avait certainement de meilleures raisons que nous de l'emporter ce soir ». « Les Marseillais avaient plus besoin de nous que cette victoire. Pour Lyon, c'était plus un match de prestige. » Le président lyonnais a aussi évoqué « l'enchaînement des matches » pour expliquer ce coup de moins bien. Mais Rémy Vercoutre préfère réfuter cet argument. « Il ne faut pas se chercher d'excuses. Marseille était dans le même état physique avec le même nombre de matches disputés. On n'a simplement pas réussi à faire ce qu'il fallait faire. » Le portier lyonnais a volontiers rendu hommage à son homologue marseillais, Steve Mandanda. « Ce soir, ce fut le match d'un gardien, le sien. » S.L., à Lyon
- CRESUS
par CRESUS » Lun Nov 12, 2007 17:09
CRESUS a écrit :Programme 15 ème journée:
Samedi 24 novembre 2007
17:10 Rennes - Lyon
20:00 Caen - Bordeaux
20:00 Lens - Lorient
20:00 Marseille - Metz
20:00 Nancy - Lille
20:00 Saint Etienne - Sochaux
20:00 Strasbourg - Valenciennes
20:00 Toulouse - Monaco
Dimanche 25 novembre 2007
18:00 Auxerre - Le Mans
21:00 Nice - Paris SG
- CRESUS
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