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Avec cette triste nouvelle, d'un seul coup d'un seul de vieux souvenirs si délicieux me reviennent, un mélange de nostalgie et de spleen avec ces noms de trotteurs magnifiques associés à des drivers qui l'étaient tout autant........ces tiercés à 20 partants, vincennes sous la neige, des gens qui piaffaient d'impatience de savoir si le roi fainéant avaient uriné avant la course, les commentaires de Léon Zitrone, les jingles " avec bilto le tiercé c mon dada " bref ces comme ces vieux films en noir et blanc, aux dialogues ciselés que l'on aime à rerereregardé juste pour se dire que " mon dieu tout y était ".......

european-76 a écrit :Avec cette triste nouvelle, d'un seul coup d'un seul de vieux souvenirs si délicieux me reviennent, un mélange de nostalgie et de spleen avec ces noms de trotteurs magnifiques associés à des drivers qui l'étaient tout autant........ces tiercés à 20 partants, vincennes sous la neige, des gens qui piaffaient d'impatience de savoir si le roi fainéant avaient uriné avant la course, les commentaires de Léon Zitrone, les jingles " avec bilto le tiercé c mon dada " bref ces comme ces vieux films en noir et blanc, aux dialogues ciselés que l'on aime à rerereregardé juste pour se dire que " mon dieu tout y était ".......

J'ai connu çà aussi et cette époque me manque, l'époque des jeux simples sur bandelettes papiers du PMU, les résultats des courses l'après midi sur RTL, toute une époque.

L'ambiance dans les pmu bondés ... dingue à midi la populasse le dimanche , les tickets à percer ... la queue qui n'en finissait plus ... quand on voit maintenant quand on est cinq il y a foule ...

C l'air des PMU virtuels seul devant nos ordis ou tablettes respectives ( même si par moment cela a un côté pratique )......sans s'en rendre compte on flingue petit à petit ce qui faisait le charme de ce jeu !!!!!!!

Xaar02 a écrit :

european-76 a écrit :Avec cette triste nouvelle, d'un seul coup d'un seul de vieux souvenirs si délicieux me reviennent, un mélange de nostalgie et de spleen avec ces noms de trotteurs magnifiques associés à des drivers qui l'étaient tout autant........ces tiercés à 20 partants, vincennes sous la neige, des gens qui piaffaient d'impatience de savoir si le roi fainéant avaient uriné avant la course, les commentaires de Léon Zitrone, les jingles " avec bilto le tiercé c mon dada " bref ces comme ces vieux films en noir et blanc, aux dialogues ciselés que l'on aime à rerereregardé juste pour se dire que " mon dieu tout y était ".......

J'ai connu çà aussi et cette époque me manque, l'époque des jeux simples sur bandelettes papiers du PMU, les résultats des courses l'après midi sur RTL, toute une époque.

Pas d'Equidia, ça devait être rude à l'époque, le déplacement à l'hippodrome était quasiment obligatoire pour noter, regarder les canters sans Equidia, les personnes se déplaçaient sur place, on a tout à la maison maintenant. Trop jeune pour avoir connu tout ça c'est vraiment sympa vos commentaires sur comment ça se passait à l'époque.

Perso j'ai eu la chance et le bonheur d'avoir 2 grands-meres turfistes ( dont une particulièrement assidue ), j'ai été conquis très jeune, c'etait que du bonheur, j'en suis nostalgique, c gravé à jamais !!!!!!

Funksta a écrit :
Pas d'Equidia, ça devait être rude à l'époque, le déplacement à l'hippodrome était quasiment obligatoire pour noter, regarder les canters sans Equidia, les personnes se déplaçaient sur place, on a tout à la maison maintenant. Trop jeune pour avoir connu tout ça c'est vraiment sympa vos commentaires sur comment ça se passait à l'époque.

Tu passais ton temps au "courses pars courses" à 10 francs l'entrée l'AM au lieu de rester chez toi, voilà tout, fallait budgétiser les café, limonade, + entrée .... Par contre tu décortiquais la Bible du coup en long large et travers, car y"avait que ça une fois rentré ... mais tu faisais ton éducation comme ça au moins, les vieux t'apprenais tu buvais la parole de certains ... maintenant y'a plus personne dans les pmu, d'un désert on se lasse.

oxfour a écrit : maintenant y'a plus personne dans les pmu, d'un désert on se lasse.

S'il n'y avait que le pmu encore, mais tout est devenu pareille. L'ordinateur a tué la vie extérieur de la population. Les Fêtes de villages, les fêtes foraines, les parcs... tout est devenu désertique. Les gens sortent plus, les gens se rencontrent par internet ect...

mykeul35 a écrit :

oxfour a écrit : maintenant y'a plus personne dans les pmu, d'un désert on se lasse.

S'il n'y avait que le pmu encore, mais tout est devenu pareille. L'ordinateur a tué la vie extérieur de la population. Les Fêtes de villages, les fêtes foraines, les parcs... tout est devenu désertique. Les gens sortent plus, les gens se rencontrent par internet ect...

Certes l'ordi y a fait beaucoup
Mais concernant les festivités et pour tout ce qui englobe la culture c'est surtout le pognon qui a fait mal
Faut voir les coupes budgétaires ...

Enfin..c'est que mon avis

Oui aussi Triste présent

La nostalgie...

https://www.youtube.com/watch?v=d6Gb5xol1uw

Trop bien fallait avoir de bons yeux tout de même.......ma grand mère pestait quelque fois !!!!! Trop bien ce post.....

Âgé de 24 ans, Euro Ringeat vient de nous quitter. Lauréat de 37 courses et ayant engrangé près de 800.000 euros, Euro Ringeat a donné de nombreuses satisfactions à Théophile Loncke avant de terminer sa carrière en Suisse, sous la responsabilité de Daniel Grüter. On se souvient encore de sa victoire à Munich, associé à Guy Verva, dans le Prix des Meilleurs, groupe I particulièrement bien doté, et surtout de son meeting hivernal 1998-1999 à Vincennes où il avait enlevé plusieurs Internationaux, alors mené par Pierre Vercruysse. Salut champion !

Joli forum aux vapeurs mélancoliques, que je découvre ce matin par hasard .

Je crois que comme vous je pleure aujourd'hui des temps où les seuls écrans accessibles étaient ceux des cinémas dans la trace parfumée de l'ouvreuse , des temps où les hommes se côtoyaient dans les cafés enfumés, s'entassaient dans des autocars fatigués, savaient s'évaluer en complices, mais aussi pouvaient parfois s'affronter salement dans les rues pavées .

Hommage au numéro 10 ...

Ce numéro était celui d'un cheval, dont je n'ai plus le nom en mémoire, qui me fit gagner l'équivalent d'une moitié de salaire un dimanche après-midi de l'automne 1980, sur l'hippodrome de San Isidro (Buenos Aires)
Mise désespérée, à l'intuition, non pas d'un turfiste que je ne suis pas, mais du joueur que j'ai toujours été .
Vos témoignages réveillent ce souvenir .

A l'époque j'étais chauffeur-livreur de soda (eau de Seltz) . Je vivais dans le garage ouvert au froid d'une petite entreprise du quartier de Belgrano :"La Filtroda", calle Lavalle .
Maigre salaire, inflation délirante, nous, les employés, achetions notre nourriture à crédit .
Au pied de mon Chevrolet de 1938 -à transmission directe et plateau de bois- j'avais aménagé une couche entre les caisses de siphons . Je partageais cet univers à la Steinbeck avec mon aide, el Indio Sabalzà (Paix à son âme) compagnon de misère avec qui nous descendions, nuit venue, des litrons de blanc en se réchauffant près du large bidon où nous brulions tout ce qui nous tombait sous la main . Nous avions un poste à transistors, et les airs de tango nous accompagnaient jusqu'au sommeil dans notre ivresse gelée . Je me souviens aussi du chien qui venait dormir près de moi, qui courrait le jour près du camion, et que je craignais toujours d'écraser .
Un film en noir et blanc . Une poussiéreuse nostalgie, celle qui comble la somnolente vacuité présente d'un vieux joueur ...

Ce dimanche là donc, un bon petit paquet de pesos dans les poches, je m'en retournai, gaillard, vers la "maison" . C'est en prenant un raccourci que j'ai été stoppé par un hurlement "Para te !" au-dessus de ma tête . Sans le savoir, je longeais une enceinte militaire . C'était la dictature, les soubresauts de la résistance, et le fusil-mitrailleur pointé sur moi, a figé l'instant . Mains au mur, fouille . J'avais un faux visa (ça c'est une autre histoire) mais j'étais plus ou moins préparé a ce genre de situation . Mon sang-froid, ma connaissance de l'espagnol et ma qualité de Français surtout ont fait assez vite basculer la scène vers ce qui n'est plus aujourd'hui qu'une anecdote .
J'ai pu rejoindre el Indio Sabalzà, et ce soir là nous avons festoyé dignement et humidement (!) dans un petit resto du quartier ...

Basa (contribution d'un pseudo-turfiste à ce forum sensible)

Hé ben quel témoignage !

Merci Basavillbaso pour ta jolie contribution, elle vaut chère tant elle est soigneusement écrite, originale et pleine d'émotions.

O R P H I C



Le cheval de plat bien connu des turfistes ORPHIC est mort sur l'hippodrome hier à Cagnes-sur-Mer.
Hongre de 8 ans, on lui doit 10 victoires sur 57 couses courues, principalement sous l'entraînement Phelippon.
Produit d'Orpen et de Villemanzie, le cheval avec sur son dos Pierre-Charles Boudot a chuté accidentellement ce Lundi 6 Février 2017.

MARCILLY



Placée de Quinté et auteure d'une belle année 2016, cette jument s'est accidentée hier à Chantilly dans la ligne droite. Elle avait remportée 3 victoires en 21 courses.

J'ai pas trop suivi mais la PSF serait elle pas en cause quand même j'ai vraiment l'impression qu'il y a un lien de cause à effet, fin d'année dernière à Deauville, c'était au moins trois canassons ( bon un avec une rupture d'anévrisme ) qui ont chuté, par rapport aux courses sur herbe, je trouve que ça fait beaucoup !!!!!!!!!!

european-76 a écrit :J'ai pas trop suivi mais la PSF serait elle pas en cause quand même j'ai vraiment l'impression qu'il y a un lien de cause à effet, fin d'année dernière à Deauville, c'était au moins trois canassons ( bon un avec une rupture d'anévrisme ) qui ont chuté, par rapport aux courses sur herbe, je trouve que ça fait beaucoup !!!!!!!!!!

A Deauville, il y a eu une chute de plusieurs jeunes chevaux dans une course pour apprenti(e)s.

A Pornichet, STOCK EXCHANGE est décédée à 9 ans il y a 15 jours.

ORPHIC lundi.

MARCILLY hier.

Ce qui fait beaucoup en très peu de temps et aucune communication de FG à ce sujet.